Accès :

 

 

Salle Grand Ecran ltalie (ex : Gaumont Grand Ecran)

Place d’Italie – 75013 Paris                                                                                                            

Métro : Place d’Italie

 

 

 

La salle du Grand Ecran Italie, climatisée et accessible aux personnes à mobilité réduite, est un lieu idéalement placé dans le sud de Paris, à mi-chemin entre le centre de la capitale et ses quartiers étudiants et les banlieues Sud/Sud-Est, particulièrement bien desservi par les transports en commun.

 

 

 

La Place d’Italie est un carrefour incontournable du sud parisien, tant par l’arrivée porte d’Italie et de Bercy des autoroutes A4 et A6 (45 mn de Roissy et 30 mn d’Orly) que par le recoupement de lignes de transports en commun aussi importantes que :

 

 


METRO :        Lignes 5 (Place d’Italie / Bobigny, qui traverse tout l’est parisien),

6 (Nation / Charles-De-Gaule-Etoile, qui traverse Paris d’est en ouest)

7 (Villejuif  / La Courneuve, qui traverse Paris du sud au nord)

14 (Météor) : Gare St Lazare / Olympiades (Tolbiac-Maison-Blanche).

 

BUS :              27 (Porte de Vitry / Gare St Lazare),

47 (Kremlin-Bicêtre / Gare de L’Est),

57 (Arcueil Laplace RER B / Porte de Bagnolet),

67 (Porte de Gentilly / Pigalle),

62 (Cours de Vincennes / Porte de Saint Cloud),

83 (Porte d’Ivry / Friedland Haussmann),

                        Noctambus ligne R (Châtelet / Chevilly Larue / Rungis),

                        Noctiliens lignes N15 / N22 / N31 / N120 laissant tout Paris accessible jusqu’à l’ouverture des premiers métros.

 

Lignes directes vers les gares : Austerlitz, Montparnasse, RER (A, B, C et D).

 

A deux pas passent le RER B, la nouvelle ligne du Tramway 3 (Pt du Garigliano / Porte d’Ivry),

la ligne de bus 91 (Gare Montparnasse / Bastille)

 

Autant dire qu’aucune salle ne possède autant de possibilités d’accès sur Paris.

 

 

Ajoutons à cela la possibilité d’utiliser le parking du centre commercial Italie 2 qui jouxte la salle (950 places)

et ferme ses portes à 22 heures (fermeture du supermarché « Champion »).

 

 

PLAN

 

 

 

 

Environnement :

 

 

Le Grand Ecran Italie est avantageusement situé pour prendre un verre ou se restaurer après le film, ou simplement se retrouver devant le vaste parvis.

 

Il peut aussi être le point de départ d’une découverte du quartier.

 

Quand le passé rencontre le futur. C’est toute l’alchimie du XIII°. Un quartier tout à la fois très traditionnel, avec comme symbole le village de la Butte-aux-Cailles, mais aussi résolument tourné vers l’avenir avec le Grand Ecran. Ces deux aspects, quoique bien éloignés, cohabitent sans peine, formant le charme d’un arrondissement qui n’a pas d’équivalent dans la capitale.

 

A proximité :

 

-          Restaurants/brasseries du Centre Commercial (L’Ecran d’Italie, Hippopotamus, El Rancho, McDo…) ;

 

-          Cuisine du monde à deux pas, rue de l’Abbé Guérin (africaine, asiatique, indienne, italienne, marocaine, mexicaine, thaïlandaise…) ;

 

-          Restaurants et bars de la "Butte-aux-Cailles", quartier typique bien connu des artistes :

La Butte : pour tous les habitants du XIII°, ces deux mots n’ont aucun rapport avec Montmartre. Pour eux, cela signifie une petite colline surmontée de maisons à deux étages, un véritable village où il fait bon se promener lorsqu’on n’a pas la chance d’y vivre. Avec ses passages étroits encore pavés, ses bistrots qui ferment tard, ses petites places où on se retrouve, c’est un coin de Paris encore préservé et qui entend le demeurer.

Cette partie de la capitale, qui a su mieux que d’autres résister aux démolisseurs, possède un réel pouvoir de séduction.

De son passé frondeur, elle a été un des hauts lieux de la Commune, et a conservé les traces du « Temps des cerises ». Des restaurants et des bistrots ont tiré leur nom de cette chanson comme du « Merle moqueur », par exemple.

(guide : http://www.parissi.com/ultrag/caille ) ;

 

-          Restaurants asiatiques du "Quartier Chinois", avenues d’Ivry et de Choisy :

Avec ses établissements poussés à l’ombre des tours du XIII°, le Chinatown parisien, second pôle gourmand de l’arrondissement, est devenu la destination obligée de tous les « gaulois » en mal d’exotisme culinaire. Il est vrai que, sur un espace géographiquement limité, Chinois, Thaïlandais, Vietnamiens et, dans une moindre mesure, Laotiens et Cambodgiens, offrent un raccourci saisissant des recettes de leur pays d’origine et une heureuse synthèse de tous les modes de cuisson existants : rôti, vapeur, bouilli, sauté, étouffé… On conçoit dans ces conditions que le Parisien vienne volontiers y piocher ce qui le séduit.

 

-          Et tout autour de la Place d’Italie : un large choix de brasseries, pizzerias, crèperies, restauration rapide, cuisine traditionnelle, terrasses animées en été….

 

 

Sans oublier aux alentours :

 

-          Shopping :

 

Les habitants du 13° ont leurs habitudes autour de la place d’Italie. Trois grandes artères se partagent leurs faveurs : les avenues des Gobelins, d’Ivry et de Choisy. Sans oublier Italie 2, un vaste et luxueux centre commercial qui regroupe plus de 100 boutiques.

 

Centre Commercial Italie 2 : FNAC, Printemps, Darty, Go-Sports, Séphora, Alain Manoukian, Armand Thierry, Camaïeu, Etam, Jacqueline Riu, Pimkie, Promod , Zara, Champion…

http://www.italie2.com

 

 

-          Théâtres - Jardins - Piscines

 

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En flânant dans le 13ème :

 

Entre la Seine d’un côté, Cochin, la Santé, Sainte-Anne et le parc Montsouris de l’autre, le 13° est le plus atypique des arrondissements de Paris. Les quartiers s’y succèdent sans la moindre unité. Aux frontières de Mouffetard, le quartier des Gobelins est sans doute la partie la plus parisienne. La Manufacture, fondée par Colbert, est d’ailleurs, avec la Salpêtrière, un de ses rares monuments.

En prenant la direction du métro Glacière, on trouve ensuite de ces charmantes cités-jardins qui attirent les artistes. La « cité fleurie » et la « cité Verte » ont ainsi eu pour hôtes des sculpteurs comme Rodin, Maillol ou Henri Moore. Plus au sud, les rues des Glycines, des Orchidées ou des Volubilis sont autant de havres de paix qui font de Paris une campagne. On trouve aussi, dans le 13°, les étranges vestiges d’un « village » d’autrefois : la Butte-aux-Cailles. Il est protégé depuis trois ans par un nouveau règlement d’urbanisme. Ses habitants ont bien l’intention de défendre farouchement le particularisme de ce hameau où la plupart des maisons ne dépassent pas deux étages.

Autour de cet îlot, les tours des secteurs Glacière et surtout Italie sont un décor à la « Blade Runner » avec l’installation aux pieds des tours d’une véritable ville asiatique…

… Il n’y a d’ailleurs pas là de rupture historique, soulignait Jacques Toubon : « Le 13° a une identité. Elle est politique, culturelle et économique. De tout temps, les habitants de ce quartier ont été engagés politiquement – le quartier est ainsi à l’origine du mouvement associatif. L’arrondissement a aussi beaucoup servi de replis pour des artistes et des intellectuels... » C’est ainsi que le 13° reste l’un des derniers quartiers parisiens qui bénéficie d’une identité forgée par ses habitants. C’est suffisamment rare pour être remarqué. (Fabrice Delaye - Figaroscope - Janv. 93)

 

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L’avenue des Gobelins, qui descend de la Butte-aux-Cailles, rejoint, dans l’ancienne vallée de la Bièvre, la rue Mouffetard qui dévale les pentes de la Montagne-Sainte-Geneviève.

C’est ainsi que le XIII° arrondissement flirte avec le V°, que Chinatown épouse le quartier Latin, que Lutèce fréquente la Métropolis du XXI° siècle.

Le XIII° est en effet l’arrondissement phare de l’entrée de Paris dans le troisième millénaire avec son nouveau pont sur la Seine, la Très Grande Bibliothèque, un métro (Météor) tout neuf, quelques facultés et l’opération Grand Ecran.

L’ombre de ce qui, dès 1991, sera l’antre du cinéma et de la télévision se profile sur la place d’Italie et se découpe sur l’avenue des Gobelins.

Et même plus loin car l’axe Gobelins-Mouffetard est vraiment un trait d’union. Il rassemble deux quartiers de Paris très vivants, pour ne pas dire très vifs, si grande est en effet  leur tradition de liberté, et même de rébellion, exprimée dans maintes révolutions.

Mais le passé s’estompe.

On ne flâne plus sur les bords de la Bièvre et les tanneries ont disparu avec leur puanteur. Pourtant ce coin de Paris, si évolutif, conserve un certain goût pour une éternelle douceur de vivre…

… De plus en plus, les esprits bien faits du V° intello débordent sur le quartier d’à côté.

Ils savent bien que le XIII° porte bonheur. (Par Michel VILLENEUVE - France-Soir Quartier - Nov. 90)

 

 

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